Le prétexte qui a déclenché cette attaque de l’Iran : une série de frappes aériennes attribuées à Israël sur un consulat iranien à Damas le 1er avril, causant la mort de hauts responsables des Gardiens de la révolution. L’Ayatollah Ali Khamenei, leader suprême de l’Iran, a promis une réponse robuste, qualifiant l’acte d’Israël d’agression directe et affirmant que cela méritait une « gifle » en retour. Le Corps des Gardiens de la révolution a annoncé que l’assaut viserait des cibles stratégiques à travers Israël. En anticipation, Israël, avec l’aide des États-Unis et de la France, a activé ses mesures de défense aérienne les plus rigoureuses. Sous le commandement du contre-amiral Daniel Hagari, l’armée israélienne s’est mobilisée en état d’alerte maximale. Les radars étaient continuellement scrutés et les batteries anti-aériennes, dont le fameux système de défense « Iron Dome », étaient prêtes à intercepter les assauts entrants. L’armée israélienne a également déployé ses forces aériennes pour patrouiller son espace aérien et renforcer ses positions de défense terrestre.
Une nuit sous haute tension face à l’offensive iranienne.
Dans la nuit du samedi au dimanche, l’Iran a orchestré une attaque de plus de 200 drones et missiles contre Israël, lancée directement depuis son territoire. Cette offensive a été annoncée par la télévision d’État iranienne comme une mesure de rétorsion. Dès 2h02, la nuit a été rythmée par le bruit assourdissant des sirènes d’alerte qui retentissaient dans plusieurs villes israéliennes, forçant les citoyens à se précipiter vers les abris anti-bombes. Les images diffusées sur les réseaux sociaux montraient des scènes de chaos et d’inquiétude parmi la population, témoignant de la peur et de l’incertitude dominantes. Des images saisissantes de projectiles frôlant l’emblématique coupole dorée du dôme du rocher, sur l’un sites les plus saints de l’Islam, au cœur de la vieille ville, font fait notamment le tour d’Internet. D’autres ont montré des projectiles interceptés au-dessus de la mosquée al-Aqsa, du Mur des Lamentations, et de la Knesset (le parlement israélien). Dans le même temps, les alliés de l’Iran, le Hezbollah libanais et les rebelles yéménites houthis, ont mené des attaques anti-israéliennes, le premier en tirant des roquettes sur le Golan occupé par Israël, les seconds en lançant des drones en direction du territoire israélien.
Sur le plan international, les États-Unis et la France ont rapidement réagi pour soutenir Israël face à l’attaque de l’Iran. Les forces américaines stationnées dans la région ont été engagées pour abattre des drones iraniens qui se dirigeaient vers Israël. Adrienne Watson, porte-parole du Conseil de sécurité nationale américain, a réitéré dans un communiqué l’engagement inébranlable des États-Unis en faveur de la défense d’Israël. Cette déclaration a souligné l’importance stratégique de l’alliance entre les deux pays et la volonté américaine de maintenir une présence active dans la région pour parer à toute menace émergente.
Alors que les missiles volaient et que les drones étaient abattus, les lignes téléphoniques entre les leaders mondiaux s’activaient dans une tentative de désamorcer la situation avant qu’elle n’escalade davantage. Les implications de cette attaque étaient claires : un équilibre précaire entre la réponse militaire nécessaire et le risque d’une escalade à plus grande échelle, susceptible de déstabiliser toute la région du Moyen-Orient.
Défense et Diplomatie : Réactions Mondiales Face à l’attaque de l’Iran et l’Escalade Irano-israélienne
Alors que l’aube approchait, l’incertitude demeurait quant à l’issue de cette confrontation. Les forces de défense israéliennes, soutenues par leur technologie avancée et la coopération internationale, ont continué à travailler sans relâche pour contrer chaque menace, dans l’espoir de restaurer rapidement la sécurité et la stabilité pour la population civile israélienne. Au terme de l’attaque de l’Iran, les forces de défense israéliennes ont réussi à intercepter 99% des projectiles lancés. Le porte-parole de l’armée israélienne a rapporté que, bien que quelques missiles aient légèrement touché la base de Nevatim, aucun drone ni missile n’avait pénétré profondément dans le territoire israélien. Sur le plan international, la réaction a été vive : l’Union européenne et des figures politiques comme le président français ont condamné l’attaque, soulignant les risques d’une escalade militaire. Parallèlement, le Hezbollah a intensifié ses assauts sur le plateau du Golan, illustrant la possible extension du conflit. En réponse à ces développements, le Conseil de sécurité de l’ONU a programmé une réunion d’urgence, soulignant la gravité et l’urgence de la situation.
Trois diplomates européens britannique, français et allemand « ont été convoqués au ministère (…) à la suite des positions irresponsables de certains responsables de ces pays concernant la réponse de l’Iran à la série d’actions du régime sioniste contre les ressortissants et les intérêts de notre pays », a déclaré la diplomatie iranienne, dans un communiqué publié par l’agence officielle Irna.
L’Iran estime que « l’affaire peut être considérée comme close »
Consernant les attaques d’Ambassade qui ont l’air de scandaliser l’Iran. Le 17 mars 1992, une bombe saute à l’ambassade d’Israël à Buenos Aires. Elle fait 29 morts et 242 blessés. L’attentat était commendité par l’Iran. Plus ancien, Le 4 novembre 1979 en fin de matinée, quelque 400 hommes (parmi eux Ezzatollah Zarghami) prennent d’assaut l’ambassade des États-Unis à Téhéran. Pendant 444 jours, cinquante-deux diplomates et civils américains sont retenus en otage.
à suivre …